Demande d'intégration a la phalange

Salutation amis de la phalange.

Je tient a vous faire part de ma
décision d'intégrer la phalange plus avant qu'aulourd'hui et de devenir
un membre actif de celle-ci.

Il est tout aussi important de vous
donner la raison motivante de mon acte. Jusqu'a présent je faisait
partie de la phalange, j'avait l'envie de défendre mon peuple de
découvrir les secrets de ce monde. J'avait envie de découvrir ce que
les livres m'ont permis d'imaginer.

Un évènement a boulverser
mon existence et m'a fait comprendre que nous devons lutter activement
contre le fléau et la légion. Je sait que tu sera surpris noxx mais il
faut que mes motivations soit clair, je déteste l'ambiguité.

Bref, je venais de quitter mon cher et tendre alaryon pour me rendre aux maleterres.
J'avais
décidée d'en savoir plus sur les évènements qui ont eu lieu a comté de
darrow. En effet nombre de récits indique que cette ville fut le
théatre d'évènement importants, que de cette ville est venue un traitre
parmi les humain qui aurait infléchi la guerre dans ces contrées.
Il
faisait nuit et je pouvais encore ressentir la chaleur des bras
d'alaryon, je chevauchait sur ces terres maudites, par endroit
j'entendait des grondements et d'autres son peu encourageants mais
aucune créature ne semblait oser me menacer.
Enfin je parvint sur
les surplombs de la ville, elle était vide, pas de goules pas
d'abominations issues du fléau, en tout cas aucune visible de si loin.
Je décidait, insouciante je l'admet, de descendre et d'explorer les
lieux. J'entendi alors un bruit incongru, des pleurs, quelqu'un
sanglottait non loin.
Mon premier réflexe fut d'aller voir si
quelqu'un avait besoin d'aide, mais en m'approchant je réalisait que
les pleurs provenaient d'une maison non loin.
Je me repelait de
récits disant comment des créatures mortes vivantes tendaient des
pièges, malgres tout ces pleurs semblait ceux d'un enfant.
Je
décidait de m'aprocher non san lever une barriere de glace autour de
mon corp, alors que ma monture me menait a une dizaine de mètre de la
maison en ruine les pleurs céssèrent. La lune me permit de voir une
silhouette se dissimuler maladroitement dans les ruines, visiblement
effrayée.
J'entrait dans la maison, peu assurée, il n'y avait plus
un bruit, juste l'écho de mes pas qui me semblait afreusement fort et
le bruit assourdissant de ma respiration.

Quelque chose surgit alors des ombres, mon réflexe fut de créer une
nova de givre pour geler et immobiliser l'ennemi, mais ce n'était
qu'une pettite fille
Elle me demanda de l'aider expliquant que son
père était parti combattre les monstres et qu'il tardait a revenir, que
son père était un grand combattant.
Elle idolatrait son père a la
manière des enfant, avec toute l'innocence fragile qui les
caractérises. Une petite fille normale effrayée par la nuit, qui me
demanda d'aller chercher sa poupée pour qu'elle se sente moins seule,
moins effrayée.
Normale a une exception... les créatures du fléau
avaient eu raison de sa joie de vivre et de son innocence depuis
longtemp a en juger par le petit corp que j'apercevait derriere la
forme spectrale.

Incapable de faire quoi que ce soit pour elle,
je décidait d'aller chercher sa poupée dans les ruines de comté de
darrow, elle me mis en garde contre les "méchants" qui rodait.

La
ville était déserte, les batisses me regardait leurs portes et fenêtres
béantes ressemblait aux geules de monstres terribles prêtes a
m'engloutir.
Je n'avait jamais perçu un tel silence, ni a quel point
il pouvait être opressant. Peut être mes émotions, ce poid devant cette
enfant morte qui l'ignorait était ce qui me faisait si mal, mais voir
ces maisons vides, ces reflets de vies passée emportées sans raison,
juste pour la folie d'un être assoifé de pouvoir et de destruction,
cette vison me pesait.
Autrefois des gens vivaien, dans ces maisons des gens s'était aimés, déchirés construits.... des vies fauchées avant l'heure.

Errant
parmis les ruines, au milieu des corps et des meubles brisés je comprit
enfin l'horreur que les habitants avaient du ressentirs.
Incapable
de contrer la masse hideuse du fléau. A quoi avaient ils pensé avant de
mourrir, vers quels dieux leurs prières sans réponses étaient elles
allées?

Je finit par trouver la poupée,elle avait été mise en
morceau par ces monstres, dans la pièces il y avait trois corps, une
femme qui avait pris contre elle ses enfants, elle les avait sérrés
sous elle essayant de les protéger de son corp fragile, un acte d'amour
désespéré.
Je ramassait la poupée et j'entreprit de la réparer, pas
avec ma magie, de mes mains, je ne suis pas tres bonne couturière, mais
il fallait que je le fasse que je réfléchisse...
Je fini par ramener
la poupée, la jeune fille me remercia comme si je lui avait le plus des
cadeaux, elle me demanda de chasser les "méchant" et je lui promis de
le faire, je restait un peu pour lui parler, la rassurer... en partant
je lui promis de prévenir les siens de les chercher.
J'ai donc
quitter ces lieux trouver sa mère, son spectre, et son oncle. J'ai
réhabilité la mémoire de son père faussement accusé de trahison et
leurs âmes sont désormais libre de passer ailleurs.
Vous me direz
que j'ai fait ce qu'il fallait, que je l'ait aidée... je dit le
contraire, c'éait avant sa mort que j'aurait du agir!

C'est pour
cette pettite fille que je veux rejoindre la phalange et lutter contre
ces choses qui méprise la vie, qui ne cherchent qu'a détruire pour un
pouvoir illusoire. Une petite humaine m'a apris la plus grande des
leçons, je dispose d'un imense pouvoir, et celui ci ne va faire
qu'augmenter et ce pouvoir me donne de grande responsabilité envers
ceux qui n'en ont pas.

Voila la raison de ma décision, j'ai
rejoint le corp expéditionaire en outreterre, j'ai acquis aupres des
miens le statut d'archimage, j'ai encore beaucoup a apprendre, je suis
Caelwyn Fleur-de-Givre et la légion connaitra ce nom, elle aprendra a
le craindre.

Il en est de même pour moi qui attendait patiemment que Caelwynn se décide enfin ... Nous sommes prêts a passer le rituel.

très bien ... vos raisons, chère magus me semble correspondre tout à fait à celles qui m'ont poussé à créer la Phalange.